Soirée de pré-rentrée

Une belle soiree en perspective...Claire ouvrit son coffre apres s'etre garee. La jeune fille portait une robe lui arrivant au milieu des cuisses, grise et noir, un peu destroy. Elle lui faisait une silhouette magnifique. Elle portait des tongs simples... Quand a ses cheveux, toujours en petard. Elle etait joliement maquillee...comme a toute bonne soiree qui se respectait.

Elle sortit son portable et regarda l'heure: 20h. Ils avaient donc une heure pour preparer la celebre soiree de pre-rentree, sur la plage.
La jeune fille attrapa deux packs de boissons dans chaques mains, qui se trouvaient dans son coffre. Boissons alcoolisees ou non, il y avait de tout.
Claire enjamba le muret qui separait la route de la plage et continua vers l'eau. Il n'y avait rien ni personne. Elle etait la premiere. Bien sur, elle s'etait tout de suite portee volontaire pour organiser la soiree...Claire etait partante pour tout ! Alors pour ce qui etait des soirees...

La jeune fille posa les bouteilles sur le sable, pres de l'eau. Elle enleva son gilet, il faisait encore chaud malgre que le soleil se couche deja. Elle regarda un instant le soleil se coucher au dessus de l'eau. Quelle vue magnifique. Elle souriait...elle allait revoir Megane, Enzo, John, Tosh...Cela ne faisait que 2 mois qu'ils ne s'etaient pas vus, mais ils lui manquaient deja.

Elle se surpris en train de rever au lieu de preparer la soiree. Elle se secoua alors mentalement, jeta son gilet sur le sable, enleva ses chaussures et retourna vers sa voiture, les pieds s'enfoncants dans le sable chaud. Claire adorait la plage. C'etait l'endroit ou elle etait le mieux. Certainement a cause de ses origines hawaiiennes.
Elle empoigna encore deux packs de boissons, qu'elle ramena a cote de ses affaires. Son telephone sonna dans son gilet. La jeune fille se jeta a genoux dans le sable et chercha precipitement la poche ou il se trouvait. Lorsqu'elle l'eut enfin en main, il ne sonnait plus...

8 appels en abscence ( ^^ ). Venant de...Enzo ? Elle essaya de le rappeler, s'allongeant dans le sable avec un large sourire. Une sonnerie...deux sonneries... il ne deccrochait pas. Il devait venir installer la musique normalement. Avait-il eut un probleme ?
Claire entendit une voiture se garer pres de la sienne. Elle se releva et, pieds nu, la robe pleine de sable, elle se mit sur la pointe des pieds pour voir de qui il s'agissait...

- Début du Flashback

Le Soleil se levait à l'Est lorsque l'italien ouvrit les yeux. Se frottant les yeux, encore assoupis par cette courte nuit, Enzo Pacetti observa le cadran de son putain de réveil qui venait de sonner. Hum... La con de sa race à ce putain de réveil! Et maudit soit Gil Silenoz de lui avoir fait promettre qu'ils iraient surfer. Y a des moments où il ne se comprenait pas... Remarque, il n'avait pas besoin de chercher 12h à 14h, il était bourré lorsqu'il lui avait posé la question... Il poussa ses couettes avec l'aide de ses jambes. Néanmoins, il fallut que son réveil se remette à sonner 5 minutes plus tard, pour qu'il se lève, enfin.

A moitié la tête dans le cul, il ouvrit sa porte de chambre, tout en se passant une main dans les cheveux. Oui, car voyez-vous, il avait une de ses coiffures... Vous savez, celle qu'on les personnages de dessins animés après avoir eut une dinamyte avait explosé près de lui. bref... Il dévala les quelques marches qui le menèrent à la cuisine, et il entra. Encore ce matin, il eut droit à la même phrase que son "Caïd" de père et un sourire de la part de sa mère.

- Gregorio - Hum... Encore en Calçon? T'es rentré à quel heure, cette nuit?

Enzo s'affala sur une chaise de bois. Sa mère déposa une assiette avec des oeufs et du bacon et elle lui posa le pichet de jus d'orange à côté de son verre. Enzo se servit un verre tout en continuant à se frotter son oeil gauche. Une fois le verre remplit et vidé par Enzo, ce dernier releva la tête et répondit à son père.

- Enzo - J'crois que c'était... 2h00...

Il ignora la première question. Il détestait faire des efforts le matin avant d'avoir pris son petit déj'. C'était pas maintenant que ça allait changé. Son père plia le journal, et se leva. Il posa une main sur l'épaule de son fils et il ajouta:

- Gregorio - On va te voir aujourd'hui?

- Enzo - Nan... J'dois aller surfer avec Gil... Ensuite, j'dois aller draguer avec ce dernier... Et enfin, je dois retourner à la plage pour la soirée, ce soir... Une fois avoir fini de mâcher sa première bouchée et l'avoir avalé, Il ajouta: Peut être, oui... Aux alentours de 18h. Mais je dois me doucher, enfin, me préparer, quoi...

- Gregorio, exaspéré - Ah...

- Fin du Flashback

Voilà, pour résumer, durant toutes les vacances, il avait glandé à fond, passant peu de temps chez lui, et ne voyant sa famille que le temps qu'il faut pour pouvoir être tranquille malgré les remarques du père. Enzo gara la voiture de sa mère, qu'il utilisait le temps qu'il mérite sa propre voiture. Il enleva ses lunettes de soleil, style aviateur américain, qu'il mit dans la boîte-à-gants, puis il sortit de la voiture noire, refermant le véhicule derrière lui, juste après avoir enlevé ses chaussures. Il ne fallait surtout pas qu'il les abîme. Elles étaient trop belle, ces converses...

Sentant le sable chaud sous la plante de ses pieds, Enzo marcha les quelques mètres qu'il lui fallait pour rejoindre une camarade d'école fort charmante. Oui, pour celle qu'il avait le béguin depuis près de deux ans. Il n'avait jamais osé lui demander de sortir avec lui, ayant peur de se prendre un rateau. Pourtant, il est sortit avec un nombre incalculable de filles... Même Lucy Spencer... Mais là, il était bourré, et elle l'avait sérieusement chauffé comme elle savait si bien le faire. Arrivant à son niveau, Enzo lui dit:

- Enzo - Salut, Claire! Comment va?

Il lui tapa la bise avant de regarder autours de lui. Le soleil se couchait à l'ouest, le bois était prêt, l'alcool et les boissons, également. Il se rappela de la musique. Tout était dans le coffre. Il eut un sourire, et il ajouta:

- Enzo - T'as pensé quasi-à tout. Tsé pas qui c'est qui amène à manger ou on commande des pizzas? La musique est dans le coffre de ma caisse...

La jeune fille regarda la silhouette s'approcher. Elle sourit, n'ayant aucun mal a reconnaître la personne approchant. Enzo Pacetti. Claire le laissa venir, le regardant. Il était vraiment mignon. Quand a ses yeux...Claire avait fondu en les voyants la première fois.

Il arriva et lui fit la bise, lui demandant si elle allait bien, et si elle savait qui amenait la bouffe.

-Moi ça va...Cette soirée va être superbe.

Elle lui sourit et regarda son portable.

-Je crois qu'Andrew et Megane se chargent de ça. Bon, on va installer la musique...

Les deux amis firent plusieurs aller-retour a la voiture noire d'Enzo, amenant tout le matériel musical sur les planches en bois posées sur des tréteaux, qui faisaient office de table. Ils mirent bien une demi-heure a tout régler. Enfin, Enzo mis une demi-heure. Car Claire n'y connaissant pas grand chose, elle ne pouvait pas lui être d'une très grande aide...En attendant, elle avait ramené de quoi faire un feux sur la plage, pour quand la nuit serait tombée.

Après cela, ils se réservèrent quelques minutes de pause. Assis dans le sable, regardant le couche de soleil, tout deux étaient plonges dans leurs pensées et ne disaient pas un mot. Cela avait toujours été plus ou moins comme ça entre eux. Claire se rappela la première fois qu'ils s'étaient rencontres. Ils n'étaient pas seuls a ce moment la...ils avaient bien ris avec leurs nouveaux amis. Et après cette journée, Claire avait tout de suite eut envie de revoir Enzo. Elle savait qu'il était vraiment intéressant. Et elle mourait d'envie de faire sa connaissance, un peu plus. Quelques temps après, ils s'étaient vus en tête a tête, allant boire un coup de temps a autres. Et...Claire avait alors découvert qu'Enzo était un grand timide. Enfin, avec elle en tout cas. Lors de ces rencontres, ils ne parlaient pas énormément. De longues minutes de silence passaient, des silences gênants...Mais il suffisait a Claire de poser les yeux sur lui pour se rendre compte a quel point elle avait de la chance d'être la, a boire un chocolat chaud avec lui, alors que le vent soufflait fort dehors. Et plus ils se voyaient, et plus Claire voulait le revoir. Elle l'adorait...et il devenait un peu comme une drogue pour elle. (Ou un chewing gum. Suivant le point de vue. ^_^). Tout deux s'étaient rapprochés peu a peu. Et pourtant, jamais ils n'avaient ut d'autre relation qu'une entente amicale. La timidité, la peur de se prendre un râteau...beaucoup de choses essayaient de les éloigner. Mais en vain. Claire sourit a cette pensée et tourna la tête vers lui. Il regardait le vide. Comme souvent. Fixant un point, il semblait perdu dans ses pensées. Si il savait a quel point il était mignon comme ça.

-Je vais écrire a Andrew. Lui demander si il a bien commande des pizzas...

Elle sourit de nouveau au jeune homme et se leva, s'éloignant un petit peu pour attraper son téléphone, sur la table. Elle écrivit alors un message a Andrew.

[Voir le téléphone d'Andrew]

- HRP - Every body! Come on!

Elle allait bien. Tout allait bien. Elle était connu pour avoir toujours le moral. Il ne l'avait jamais vu faire la tête ou quoique ce soit. C'était assez impressionnant, quand même. Lui, Enzo, lorsque ça n'allait pas, il ne supportait pas que les autres aillent bien... Du moins, tant que l'on ne l'avait pas fait rire... Gil se débrouillait plutôt bien dans ce domaine... En même temps, ils se connaissaient depuis la fin du primaire... C'est qu'à force, on finit par se connaître. Il la vit observé son portable. Cette dernière l'avertit qu'Andrew et Megane allaient s'en chargés. Ces deux là... Bref...

- Enzo - Ok, c'est cool...

Que pouvait il dire? Il avait dû mal à parler lorsqu'il était seul avec elle. De plus, il n'arrivait pas à soutenir le regard de Miss Storm... Pourtant, il adorait ses yeux... Magnifiques... Belles couleurs... Bref... Il ne les regardaient que lorsque cette dernière regardait ailleurs... Pourquoi était il comme ça? Pourtant, lorsqu'il était avec ses potes, il était presque le meneur et prompt à faire toutes sortes de conneries, mais lorsqu'il devait lui parler ou qu'il était seul, il avait un tout autre comportement... Merde! S'en était elle rendue compte? En même temps, même un aveugle aurait pu le voir. Si l'on ne le voyait pas, on ne voit plus...

Enzo avait le regard dans le vide. Fallait il qu'il ose? Qu'il fasse le premier pas? Hum... Il mit la main dans sa poche et en ressortit un chewing gum. Premier signe de trac apparant. Non, le second, puisqu'il avait un regard vitreux... Merde... De tous les sentiments qu'il détestait, c'était le trac... Ce stress qui te broit le ventre, et qui te force à te taire... Alors que tout est autre... Claire se leva. Merde, ils s'étaient pourtant rapproché... Dommage... Enzo la regarda se lever. Son regard se stoppa sous la ceinture... Euh... Il releva vite les yeux tandis qu'elle s'était retournée vers lui. Même si elle tapait le message, Enzo n'aurait pas voulu qu'elle surprenne ce regard... Pourquoi...

Enzo se releva d'un bond. Mettant sa main dans la poche, il en ressortit un portable aussi plat que le fond d'une poêle. Il observa l'ecran et vit le nom de "Gil". Tiens donc... Enzo le fit attendre, juste pour le faire chier. Il adorait faire cela... Tout simplement parce que Gil détestait cela. Il appuya sur le petit téléphone vert et il se mit à parler.

- Enzo - Qu'est ce tu veux... Oui, chui sur la plage, T'es où? QUOI?!? Oh, bouge ton cul!!! Et n'oublies pas les chamallows! T'inquiètes, Claire a pensé à tout... Y a l'alcool et le jus d'orange spécialement pour ton estomac... Enzo se mit à rougir. Qu'avait dit Gil??? Tagueule! Prends ton maillot et ramène ta fraise, ma poule! Bye.

Lorsqu'il rangea son portable dans sa poche et qu'il releva la tête, il croisa le regard de Claire. Vite, il détourna. Pourquoi avait il fait ça? Si elle n'avait pas compris, elle ne comprenait plus rien! Raah... Néanmoins, il parla.

- Enzo - Alors? Il t'a répondu?

Si l'orgueil allait bientôt être son premier défaut le lendemain, là, c'était la patience qu'il n'avait pas.

Claire, apres avoir ecrit a Andrew se retourna et croisa le regard d'Enzo. Il s'etait leve. Elle lui sourit et se retourna, ouvrant un pack de bieres. Elle en prit deux et s'approcha d'Enzo, tandis qu'il parlait a Gil. Comment savait-elle que c'etait lui ? La maniere de parler d'Enzo. Il riait et le taquinait toujours comme ca. Lorsqu'il eut raccroche, il lui demanda si Andrew avait repondu. Elle lui mit la bouteille entre les mains.

- Non. Tout le monde ne reponds pas aussi vite que toi...

Rajouta t-elle avec un sourire en levant les yeux a quelle heure elle lui ecrivait, il repondait aussitot. Meme a une heure et demi du matin...

Claire s'etira, toujours pieds nu dans le sable. Tentative de faire quelque chose, pour ne pas rester la comme une abrutie a ne pas parler. Elle tourna ensuite le dos a Enzo et s'approcha de l'eau. Doucement, elle glissa son pieds dans celle-ci, histoire de voir si cette soiree se finirait dans l'eau pour elle aussi. Enfin elle allait etre mouillee, ca c'etait certain. Les garcons allaient la fouttre a l'eau. C'etait toujours comme ca. Le fait qu'elle soit amie avec tout le monde et surtout, qu'elle soit legere et ait a peu pres autant de force qu'une fillette de 12 ans, Claire se faisait toujours avoir par les gars. Mais elle en riait plus qu'autre chose. Comme d'habitude quoi. Pas comme ces filles qui sortaient de l'eau en ralant et en criant "Putain vous etes coooooons ! Je me suis faite une nouvelle couleur hier !" --' Bref.

- Lucy vient ?

Demanda aussitot Claire en se retournant vers lui, les deux pieds dans l'eau. Si elle venait, Claire etait prete a parier qu'elle embrasserait plus de 4 gars dans la soiree. Et qu'elle finirais au lit avec l'un d'eux. Ou plus...
Claire ouvrit sa propre bierre. Et en bu deux gorgees. Ce soir, elle finirait surement petee. Mais meme avec tout les gars louches style Corso qui seraient la, elle n'avait pas peur. Elle savait qu'Enzo veillerait a ce que personne ne profite de son etat. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle sentait que lui, sur ce coup la, elle pouvait lui faire pleinement confiance.
Son telephone sonna tout a coup, emettant deux bips signalants l'arrivee d'un nouveau message.

-Les pizzas vont pas tarder.

Allongée sur son lit à baldaquin King Size, Alistair Newton se demandait ce qu’elle allait bien pouvoir faire de sa soirée. J-1 avant le début des cours, dans cette fac pourrie où il n’y avait personne de relativement intéressant. Il fallait donc qu’elle se fasse de nouvelles connaissances.
Pas besoin de prendre un appartement près du campus puisque d’une, avec la voiture de sport que son père lui avait offert pour ses dix-huit ans, elle était à proximité de tout, et que de deux, elle n’avait de toutes manières pas de parents étouffants à fuir, bien au contraire. Elle faisait tourner une mèche de ses cheveux bouclés entre ses doigts, comme à chaque fois qu’elle était pensive… Il y avait bien cette soirée, sur la plage, mais elle était donnée par ces nazes qui étaient dans le même bahut qu’elle, l’an passé.
Y aller, ne pas y aller? Ça faisait deux jours qu’elle recevait des appels de ses camarades de l’an passé, celles qui la suivaient partout. Elles lui demandaient si elles pouvaient passer la voir, mais à chaque fois, elle faisait basculer les appels sur son répondeur: elle n’allait pas s’encombrer de ces boulets qui n’étaient pas fichus de passer dans l’année supérieure…
Il lui faudrait bien se trouver quelques nouvelles fréquentations, après tout… Elle détestait rester seule, c’était d’un ennui! D’autant plus que ça la faisait plonger dans une de ses bulles d’angoisse et de morosité qui faisaient du mal à sa peau. Dammit. Elle irait.

Bondissant de son lit, elle passa prendre une douche, se maquilla avec soin, comme toujours, et enfila une minirobe de couleur rose mettant en valeur sa plastique parfaite, ainsi qu’une paire de tongs de la même couleur.
Attrapant ses clés, elle quitta le manoir familial, et s’engouffra dans sa voiture, ou, après une dizaine de Kilomètres la musique à fond, elle parvint enfin à « la plage », gara sa voiture, et attrapant ses clés, se dirigea vers… Les deux personnes qui s’y trouvaient: Enzo et Claire. Elle était bien tombée. Tu parles.

Elle leva les yeux au ciel, hésita, puis se résigna finalement à s’approcher, un sourire narquois aux lèvres

- « Whoah, c’est une fête à petit comité dis donc! On attendait plus que moi ». Notons qu’elle avait prit la résolution d’être sympa, cette année. Mais c’était décidemment plus fort qu’elle.

- HRP: Je sais pas pourquoi, mais le RP va donner... Vivement que les autres viennent!

Enzo était assez secoué par la conversation récente qu'il avait eut avec Gil. Néanmoins, ce dernier lui avait conseillé de laisser tomber sa timidité de merde envers cette fille et de foncer. Plus facile à dire qu'à faire. Néanmoins, elle était parfaite... Et plus d'une fois, il se perdait dans l'horyzon de ses yeux verts... Il tressaillit. Pourtant, il ne faisait pas froid... Putain... Claire lui fit un compliment... Un frisson... Il tourna la tête vers le soleil couchant... Même lui il se cachait... Avait il peur qu'Enzo fasse une connerie? Merci du soutient, vraiment! Enzo se dirigea vers la voiture de sa mère, mais qui était considéré à la maison comme la sienne. Sa mère lui demandait pour prendre la voiture, lol. Attendez, un HONDA CIVIC, quoi! Enzo était amoureux de cette voiture... Il n'était pas le seul...

Là-bas, il enleva son pantalon et revetit son maillot short qui lui tombait en dessous des genoux. Un short avec des motifs Hawaïens de couleurs blanches et rouges. Les deux couleurs préférés d'Enzo. Puis, il plia son pantalon et referma la portière après avoir appuyé sur le Tchouk-Tchouk pour ouvrir le coffre. un petit clic se fit entendre. Enzo fit le tour de la voiture, et sortit la chaîne stéréo. Il la posa sur une petite table, non loin des boissons. Là, il retourna sortir une rallonge et lorsqu'il revint, Claire lui posa une question fatidique.

- Enzo - Sûrement... Après tout, c'est dans le but de réunir à nouveau la classe...

Enzo eut un soupir. Oui, il allait encore se souvenir de sa connerie. Sa seule pensée qui lui permettait de tenir, c'était qu'il n'était pas le seul à y être passé dessus. Enfaites, sauf le train, tout le monde y était passé, même le plus boutonneux des intellos... Quoique... Enzo est pathétique. Je le trouve insupportable. Plein de préjugé, et tout ça... Je ferme la parenthèse. Pensées des choses comme cela... Bref... Il brancha la rallonge à la chaîne, puis il déroula le fil qu'il dirigea vers un lampadaire, où il brancha la radio. Il revint doucement, faisant attention de ne pas se faire trop mal aux pieds. Claire lui apprit que les Pizzas n'allaient pas tardé. Tant mieux... Gil n'allait sûrement pas tardé... Ni les autres d'ailleurs...

- Enzo - Cool! Et...

Il fut interrompue. Alistair... Belle blonde, cte fille... Mais un tempérament assez... Etrange... Il lui fit un clin d'oeil. C'était sa façon de souhaiter la bienvenue ou de dire bonjour, bonsoir vu qu'on est le soir, bref... Enzo s'approcha d'elle et il lui fit la bise puis il recula et il leur demanda.

- Enzo - Au faites... Vos vacances?

[Je sais pas trop si j'ai le droit de poster sans avatar mais vu que c'était près j'avais pas envie de changer si quelqu'un d'autre arrivait ^^''' (je sais, hoo la méchante ^^''') En plus, je préviens, c'est très spéciale comme style, je voulais essayer quelque chose mais je sais pas trop si ça a bien rendu, bref, que des mauvais points pour moi Razz

]

Ce soir, la fête pré-rentrée. Ca devrait être interressant? C'est en tout cas ce que notre petite (mais pas si petite que ça au final ^^) Asuka pensait. Après tout, c'était l'endroit et le moment idéal pour qu'une petite fouinseuse ~~mais pas si petite que ça au final, vous avez compris là je pense~~ obtienne des informations sur ce qui s'était passé durant les vacances ou même sur ce qui allait se passer. Un peu de potins en plus ne faisait jamais de mal, surtout que ce n'était pas le genre d'Asuka d'aller tout mettre sur internet ou dans le journal de l'école, sinon après ça devenait de plus en plus dur de trouver des nouvelles nouvelles (hum hum...) après. Peut-être que quand la japonaise serait plus vieille, elle pourrait écrire un livre sur l'université, cela pourrait donner des choses drôles si certaines personnes devenaient imporantes! Il faudrait par contre penser à un pseudonyme parce qu'Asuka est gentille, mais pas folle, il y a des limites à tout, même à la folie. Ceux qui rigolent parce que c'est moi qui est dit ça, dehors! (Dehors de quoi? Ca restera la grande question de ce Rp...)

Asuka arriva à la fête dans les premiers, pas de chance pour elle, il n'y avait toujours pas les pizzas. Peut-être qu'elle s'en remettra, peut-être pas. Mince, ça fait une deuxième grande question dans le Rp, ça fait trop là, le lecteur va plus suivre... Dur. Mais bon, passons, on verra bien si les gens arrivent à suivre ou pas. Si vous me lisez encore les gens, tenez bon, je vais faire en sorte qu'il n'y ait plus de grande question. Hum hum... Enfin BREF, retour à Asuka. Pour l'accasion, décrivons-la un petit peu. La ~~petite~~ japonaise portait un pantalon en tissu noir, avec un chemisier blanc sans manche. Wahou me direz-vous, elle a fait des efforts vestimentaires pour la soirée. Comme à son habitude, ses cheveux sont coiffés en ananas (j'ai l'impression de ne parler que de nourriture moi...) et les mèches de ses longs cheveux noirs trop courts sont ramenés derrières ses oreilles. Pour tenir la coiffure (pour le moins instable pour une fois) en place, ses lunettes avait été posée sur les cheveux au lieu du nez. Malgré ça, elle voyait correctement mais elle n'arrivait pas trop à distinguer les traits des personnes de trop loin. Comme d'habitude quoi, elle faisait ça au couleurs de cheveux, à la taille, ect... Elle avait l'habitude vu qu'elle ne mettait que rarement ses lunettes. Elle était têtue la petite Asuka (je peux pas barrer là, sinon ça va plus au niveau du "la", dur...) et elle mettait le moins possible ses lunettes sur le nez. C'est qu'elle serait fragile du museau. En-dessous du chemisier blanc de la demoiselle, on pouvait voir la couleur d'un maillot de bain de couleur, attention, roulement de tambour, suspence... Et oui, il était noir, ce qui avait deviné juste ont le droit de rejouer (trop beau le cadeau, je sais). Il était tout simple et en une seule pièce. Pudique la fille, avec l'éducation de sa mère, que voulez-vous d'autre? Elle avait été obligé de se décoincer en Amérique mais quô même (avec l'accent s'il-vous-plaît!). Surtout qu'elle ne supportait pas l'eau. Elle ne savait pas nager et dès qu'elle avait de l'eau au-dessus de la tête, même un centimètre en ayant largement pieds, elle paniquait. Petite elle avait failli se noyer et c'était resté.

Voilà pour les vêtements, mais ce n'est pas tout, en toute occasion, dans n'importe quel endroit, notre japonaise préférée ~~ou pas, hum hum...~~ portait un sac noir en bandouillère, avec à l'intérieur tout le matériel photographique dont elle avait besoin et un bloc note avec des stylos de toutes les couleurs. Elle utilisait toujours pleins de code de couleurs et une écriture abrégée assez spéciale ce qui faisait qu'elle seule pouvait comprendre ce qu'elle marquait. Mais non elle est pas parano la petite ~~pas petite~~. Il ne fallait juste pas qu'on y touche ou qu'on y regarde de trop près, et après il y a des personnes pour dire quelle est parano, vraiment... Les gens sont méchants parfois. Mais bon, pour résumer, Asuka est arrivée sur place. Elle était venus à l'endroit prévu en bus et elle avait finit à pieds. Elle avait plus ou moins appris à conduire mais de toute façon, elle n'avait pas de voiture, elle savait que ses parents avaient énormément de choses plus importantes aux quelles prêter attention, elle n'allait pas jouer les petites capricieuse. Mais oui c'est une bonne fifille (plus ça avance et plus j'ai l'impression de parler d'un chien... (pas de nourriture cette fois hein! un chien vivant!)). Encore une fois, elle avait proposé à sa mère de rentrer pour essayer de limiter les dépenses, les soutenir durant cette épreuve et peut-être même se mettre à travailler, mais sa mère avait encore refusé. Asuka ne se faisait guère d'illusion sur la situation de sa famille, elle savait qu'avec le procès et la découverte des activités de son père, ils allaient avoir de sérieux ennuis financiers mais ses parents voulaient absolument qu'elle termine ses études et ils étaient intrangigeant là-dessus. Mais comme c'est une bonne fille, elle avait au moins passé ses vacances à faire des petits boulots. Elle est bien Asuka, hein? Vous êtes tous jaloux, je parie.

Bon... c'est pas tout mais faudrait peut-être terminer de raconter sur arriver sur la plage? Parce avec le nombre de digression et le peu d'avancé, ça fait un moment qu'elle est immobile un pied en l'air en attendant qu'on annonce enfin qu'elle pose le pied sur la plage. Ha ba voilà, c'est fait, le mode arrêt s'est arrêter tout seul. Ho, un jeu de mot! Ou peut-être pas mais ce n'est pas important. Ou peut-être que si. Enfin Bref! (bis) Asuka arriva en vu de trois personnes, toutes trois étudiant dans son université, bizarre pour une soirée de pré-rentrée de son univertié, hein? Elle retira ses chassure, des petite sandalettes noires et elle la porta à la main, avec la main dont elle se servait pour saluer les trois personnes présentes. Deux filles et un garçon, Enzo aurait de quoi s'occuper dis donc, surtout maintenant qu'il y avait une nouvelle fille sur la plage. Il y avait pénurie de garçon ou Enzo avait fait en sorte qu'il soit seul entouré de fille? Humm... Ca pourrait faire une anecdote amusante dites donc...

"Salut tout le monde! Comment ça va? Il faudra qu'on m'explique un jour pourquoi on fait une fête pour célébrer la fin des vacances... Enfin, c'est pas grave si j'arrive les mains vides? A part si vous aimez les chaussures petites pointures mais alors là, il y en aura pas pour tout le monde!"

Asuka avait parlé à tout le monde à la fois sur un ton enjoué. Elle laissa tomber ses chaussures dans le sable, dans un endroit plus ou moins marqué où elle pourrait les retrouver facilement à la fin. Elle ne se déshabilla pas plus, à part si on la forçait, elle ne comptait pas mettre le moindre orteil dans l'eau, courageuse hein? Mais prévoyante comme elle était, elle avait quand même mis un maillot de bain, avec certaines personnes, on savait jamais... Je le redis une dernière fois au cas ou, elle n'est pas parano la petite (marre de barrer, tant pis...), juste prévoyante, et c'est sur cette belle parole que s'arrête ce Rp... Que celui qui a dit ouf se dénonce >.< Pareil pour celui qui a ronflé en plein milieu du Rp! Nan méo?!

Crissements de pneus, une magnifique décapotable jaune se glisse entre deux voitures en un superbe dérapage magnifiquement contrôlé, juste devant une bande de 4 filles qui papotent près de la plage.

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Le splendide John Corso sortit de sa voiture en sautant par dessus la portière.

Il enleva ses lunettes de soleil en lançant un clin d'oeil aux 4 filles le regardant, bouches bées.
Sourire charmeur au possible, les filles gloussent, John est content et se tire vers la plage. Les filles parleront de lui bien 10 minutes et iront voir se qu'il se passe a la plage dans la soirée. Peut-être même avec un peu de chance, qu'une d'elle se retrouverait dans les bras de Corso en fin de soirée. Ou les quatre...

Le jeune homme traversa donc la chaussée et, près du muret qui séparait la plage de la route, il vit les voitures de Claire et Enzo, qu'il reconnut aussitôt. Il s'arrêta devant celle d'Enzo avec un sourire malicieux. Mmmh...que pouvait il bien faire pour emmerder celui-ci ? Ho, rien de méchant...ils s'étaient toujours fait des crasses entre eux, parfois plus coûteuses que d'autres... Mais c'était leur façon de s'amuser et de se prouver qu'ils s'aimaient bien.
Une rayure sur la portière ? Mmmh...nan. John retraversa la rue et alla droit vers les 4 filles de toute a l'heure, d'un pas assure. Celles-ci le regardèrent arriver, gloussant de plus belle.

-Excusez moi beautées...est-ce que je pourrais vous emprunter du rouge a lèvres un instant ? C'est pour une blague a un pote...

Vlan ! Sourire charmeur, clin d'oeil: rouge a lèvres en main. Il retraversa la rue et s'approcha du pare-brise. Il se pencha au dessus de la voiture, sortit le rouge a lèvres et commença a écrire en plein milieu du pare-brise. Il ferma l'engin typiquement féminin avec un sourire en observant l'écriture, et retourna voir les filles.
Il rendit son rouge a lèvres a la propriétaire.

-Merci.

Nouveau sourire. Il s'éloigna en direction de la plage et se retourna avant de traverser la route.

-Au fait, il y a une fête sur la plage tout a l'heure...Je serais comble si vous veniez...

Sourire, clin d'oeil: les filles acceptent. Bingo.

John traversa donc et repassa devant la belle voiture d'Enzo, lisant sur le pare-brise << Enzo, tu ne vaut rien ! >>. Ce qui, écrit au rouge a lèvre, voulait dire beaucoup de choses, bien que John ne se soit jamais aventurer a vérifier quoi que ce soit de ce cote la, Dieu merci.

Il enjamba le muret et avança vers le petit groupe près de l'eau. Voyons...Enzo a cote de...Ho Claire. Comme c'était étonnant. John avait bien vu qu'il lui tournait autour. D'ailleurs, il veillait a ce qu'il ne tourne pas TROP près. Car même si il n'était plus avec Claire, John avait un peu tendance a se l'approprier...(mentalement, car Claire, même si elle craquait toujours pour lui ne retombait pas dans le piège. Pas encore.).

Bref. Il s'approcha. Asuka était la. Canon la petite...pas si petite que ça ( :p ). Et Alistair...John sourit. Alistair était tout a fait le genre de fille avec qui il avait du coucher bien 3 fois sans se rendre compte que c'était elle, étant bourré.

- Salut vous...

Dit-il en guise de bonjour. Il serra la main d'Enzo en souriant, autant parce-qu'il revoyait son ami, mais également en pendant a la connerie écrite sur son pare-brise. Il fit la bise a Claire, se collant a elle plus que cela n'était nécessaire, simplement histoire de la sentir contre lui. Il fit la bise a Asuka normalement, mais toujours avec ce sourire charmant. Il la connaissait assez bien maintenant, il etait son acolyte lors de leurs recherches d'articles pour le journal. En effet, John etait photogaphe pour le journal. Ils avaient donc quelques contacts...purements professionels bien sur...(ou pas) quand a Ali, il lui fit tout en effleurant sa main. Ouais, ça voulait a peu près tout dire sur ses intentions de la soirée: S'éclater avec Enzo, et se taper au moins une des filles présentes.

Haaa ce qu’elle détestait être sociale! C’était vrai, elle était incapable de faire semblant d’être sympa, parce que ça n’était pas dans sa nature de l’être. Après tout, elle n’était pas la fille de sa mère pour rien: feindre d’aimer quelqu’un, vraiment, ça n’était pas pour elle. Et puis, même lorsqu’elle appréciait vraiment quelqu’un, ce qui était rare au possible, elle était incapable de le montrer. Le pouvoir de la carapace, sans doute, qui s’était épaissie au cours de ces années.
Et elle les voyait, sourirant.. Après tout, elle n’avait pas fait partie des pestes de la classe l’an passé pour rien. Et avec un peu plus de classe de cette Lucy, tout de même: elle au moins ne couchait pas avec n’importe qui. Origines sociales obligent, et elle était beaucoup trop hautaine pour ça, d’ailleurs. Mais ça, c’était dans sa nature, n’est ce pas?

Enzo lui fit la bise, aussitôt qu’elle arriva. Elle retint un commentaire, après tout, il n’était pas moche, et elle avait dit qu’elle serait sociale, ce soir. Vraiment. Même si elle détestait tout contact. Et elle rejetta ses boucles blondes en arrière d’un air supérieur, comme toujours.

« Mes Vacances? J’ai été à Paris, comme chaque été. C’est vraiment atrooooce, l’été! »

C’était vrai. Elle détestait Paris, mais c’était histoire d’y aller. Un peu comme une coutume. Ça devait être la seule période de l’année, l’été, ou elle voyait un minimum ses parents. Ils avaient un hotel particulier ou ils y donnaient les plus grandes réceptions. Bien entendu, lorsqu’on lui demandait son age, elle répondait toujours « Seize ans », pour rajeunir sa mère, et espérer obtenir un sourire. Mais ça, elle ne le dirait à personne, même sous la torture. C’est d’ailleurs, en levant les yeux au ciel, comme pour effacer ces sombre pensées, qu’elle poursuivit, tendit que l’intello arrivait.

« Heureusement que les français sont si distingués! Et… »

Puis ce fut Corso qui arriva. Ce type était tout simplement agaçant. Et non, elle n’avait pas encore couché avec lui: il était si… accessible. N’importe quelle nana pouvait coucher avec Corso. Ou l’inverse. Corso pouvait coucher avec n’importe quelle nana. Et c’est d’ailleurs pourquoi elle ne lui courait pas après: elle ne couchait pas avec n’importe qui, et préférait mille fois des garçons moins… Accessibles. Comme ce Andrew, par exemple, qui n’était pas là.
Ce qui ne l’empêcha pas de faire un superbe sourire.

Mince. C’était déjà le dernier jour des vacances… Alex n’avait pas vu les vacances passer. Faut dire, elle s’était bien amusée, comme à son habitude. Bref, demain c’était la rentrée. Mais on s’en fou, la journée allait encore durée. Oui, effectivement, cette journée allait encore durée puisque en fin d’après-midi, les élèves du lycée avaient l’habitude de se retrouver la veille de la rentrée sur la plage.

BIP BIP ! CLAC ! Alexandra tapa un grand coup sur son réveil ce qui lui permit de ne plus l’entendre sonner. Saloperie, pourquoi est-ce qu’elle l’avait mi à sonner hier soir ? Ah oui… Parce qu’elle savait qu’elle allait retrouver ses amis le soir suivant et qu’elle avait d’autres choses à faire avant, comme le ménage de son appart’. Ce qu’elle n’avait pas fait depuis deux semaines… Quelle dégueulasse quand même. Bref, la jeune femme se leva, lentement mais sûrement, puis alla déjeuner. Ensuite, elle passa une bonne heure et demie à la salle de bain. Et se mit à faire le ménage de son appartement, mais surtout de sa chambre. Des fringues étaient un peu entassées partout.

[…]

BIP BIP ! Quoi ? Mais heu ! Pourquoi sonna-t-il encore ce con ? Ah mince oui, elle l’avait aussi mis à sonné « au cas ou » elle se serai assoupie après son ménage. Punaise, sa l’avait tellement tuée qu’elle s’était endormie sur un tas d’habits. Au moins, elle avait fini ! BIP BIP ! Oui oui ! Alex se releva, lâche son aspirateur et tapa une nouvelle fois sur le réveil. Puis elle fit attention à l’heure que celui-ci affichait ; 16h30. QUOI ? DEJA ? NON PAS POSSIBLE. Un vent de panic attrapa la jeune fille. Mais au moins, elle se pressa pour aller se doucher et s’habilla avec tout le tralala qui devait aller avec en un rien de temps. Fiou, pour une fois qu’elle n’allait pas être à la bourre… Il fallait qu’elle arrose ça. Nan, pas le temps, plus tard !

[…]

Une voiture décapotable noire se gara à côté d’autres. C’est Alexandra qui en sortit. Elle était habillée d’un débardeur marron et d’un short en jeans. Ses cheveux étaient lâchés. Pour chaussures, comme d’habitude, elle avait des tongues noires. La jeune femme reconnue au premier coup d’œil la voiture d’Enzo, enfin celle de sa mère qu’il empruntait des fois, et celle de Corso. Punaise, il était là lui aussi, au moins, elle avait pas mi son maillot de bain pour rien… A chaque fois qu’elle avait croisée Corso à la plage, elle avait fini trempée. Ils s’étaient bien amusés tous les deux d’ailleurs ici…

Quand elle passa à côté de la voiture de Enzo, elle souria, il avait un super petit mot marqué sur son pare-brise. Qui avait bien pu faire ça ? Nan, la question ne se posait même pas, c’était Corso, forcément. Ils adoraient se faire des crasses entre eux. La jeune fille passa à côté avec un immense sourire. Elle aurait voulu rajouter quelque chose elle aussi au rouge à lèvres, mais pas sur la voiture d’Enzo. Hein ? Il y avait du rouge à lèvres ? Corso portait un rouge à lèvres sur lui. Oh la. Nan nan, il avait du l’emprunter au groupe de nanas là-bas qui bavaient sur on ne sait quoi. Sûrement sur un mec. Mais qui ? Corso ? Tssss. Il avait du les draguer pour avoir du rouge à lèvres. Ou alors il en avait sur lui. Là il aurait fallu s’affoler…

Ensuite Alexandra sauta par-dessus le mur et jeta un coup d’œil à qui était déjà présent. Alors, il y avait Enzo, Corso, Claire, Alistar. Bref elle n’était pas la dernière, pour une fois. La jeune femme souria béatement et se mit à trottiner en direction d’Enzo et lui sauta sur le dos comme une gamine puérile en lui cachant les yeux. Elle annonça rapidement en redescendant de son dos et en lui déposant une bise sur sa joue droite :

Alex – « Salut toi ! T’as passé d’bonnes vacances ? Ah au fait, super l’effet glamour sur ton pare-brise ! »

Ajouta-t-elle avec un clin d’œil. Après elle se dirigea vers le fameux Corso, lui fit la bise tout en demandant :

Alex – « Coucou, alors sa a du te manquer de pas pouvoir faire de crasses à Enzo, nan ? Mais je vois que tu te rattrapes vite… »

Sourire taquin. Comme ils avaient toujours eu sur les lèvres. Depuis qu’ils s’étaient connus, ils s’étaient fait des remarques sarcastiques. Ah ces deux-là… Comme diraient certaines personnes ; « On va les marier plus tard ! ». Mais oui, mais oui.

La demoiselle alla ensuite saluer Alistar et Claire. Cette soirée allait être bien marrante. Surtout si l’alcool était au rendez-vous… Mais ne dit-on pas ; « Sans alcool, la fête est plus folle ? » ? Bref, on verrait bien.

- HRP: Ils sont trop bons vos posts! J'espère être à la hauteur!

Enzo attendait une réponse. Ce dernier n'était pas pressé, mais quand même. Il avait le regard dans le vide, comme si il pensait à quelque chose d'important... Non, en faites, ce n'était pas le cas. Il était entrain de calculé le nombre de fills qu'il s'était tapé durant les vacances... J'déconne. Enzo n'avait eut que deux aventures, dont une trois jours, et l'autre deux semaines. Pure nuit de follie durant ses jours. Bon, on arrête là. Fallait surtout pas qu'il en parle, surtout si Corso se ramenait. Lui, c'était vraiment un phénomène, ce type. Infatigable et il ne faisait jamais de pause. Si il devait sortir tous les soirs, il s'en faisait au moins une par soir... Bravo...

Enzo fut tiré de ses songes par la belle asiatique qu'il nommait Gossip. Oui, Gossip car c'était une des filles qui travaillaient au journal de l'université, et en plus, parce qu'elle envoyait par mail tous les potins possibles qu'elle avait pu glané pour détruire ou pour rendre plus cool une personne. Néanmoins, jamais elle n'avait cité un nom. Mais bon, ce n'était pas bien difficile de savoir qui c'était suivant les descriptions. Question superbe de la part de la jeune fille.

Atroce? Paris? Mwé, chacun son truc. Néanmoins, elle n'avait tellement tord. Malgré que la france soit un pays où il y a le plus de droits, il y a quand même beaucoup de choses à refaire. Puis, elle ajouta que les français étaient distingués. Enzo tiqua. Pour lui, la seule population qui valait être connu en Europe, c'était les italiens. Euh, ils avaient la classe. Et les femmes, de vrais bombes atomiques... Le seul hic, c'est qu'ils étaient un peu trop raciste à son goût... En pensant à son pays d'origine, il serra le médaillon de la madonne autours de son cou. Un petit moment de silence passa avant qu'Enzo, après Alistair, ne répondit, pas démonté pour le moins du monde.

- Enzo - Simplement parce qu'une autre partie des vacances commencent... L'année dernière, j'ai séché un cours sur deux, et je suis passé avec mention bien aux exam's... J'vais refaire pareil cette année...

Enzo eut un sourire. Qu'est ce qu'il était balèze quand même... Remarque Gil avait réussis ses exam's aussi... Mais bon, on dit que "Commerce", c'était plus simple que "Psycho", donc, Enzo avait un peu plus de mérite. Putain, le gars, comme il est orgueilleux... Ca me tue... Nouvelle affligeante. Corso was back! Connerie et taquinerie allaient donc reprendre du service. Lorsqu'il serra la main de son pote, il aurait pu jurer que ce dernier avait déjà fait une connerie... Mais qu'était elle??? Enzo n'en savait rien.

- Enzo - Corso! Comment vas tu? Toujours un seul neurone?

Oui, Corso était un pro du matériel qu'il avait entre les jambes. Et de tous les hommes de leur age que Enzo connaissait, c'était sûrement lui qui en jouait le plus. Enzo lui fit un clin d'oeil et c'est à ce moment qu'Alex apparut. Enfin, il ne la vit pas desuite. Il fut soudain aveugle. Deux mains féminines lui cachaient les yeux. En guise de "Qui c'est?", Enzo eut droit à une révélation particulièrement... Explosive... Il eut un moment de silence après cette phrase. Comme si il allait se passer quelque chose de particulièrement explosif.

- Enzo, avec le plus grand calme - De merveilleuses... J'ai beaucoup aimé... Et twa?

Enzo répondit à son clin d'oeil. Lorsqu'il regarda Corso, il sut qu'il avait fait une connerie. Cette fois, c'était sûr! Enzo eut un sourire. Il but un peu de sa bière puis, il s'approcha de John, et avec un jolie sourire particulièrement niais, il retourna la bouteille sur la tête du playboy. Une fois la bouteuille vidé, Enzo lui fit un bisou sur la joue, et il ajouta.

- Enzo - Mwa aussi, je t'aime!

Il fit mine de faire un bisou dans le vent, puis il tapota l'épaule de Corso avant de se diriger vers la sono. Il ouvrit un sac où il y avait une tonne de CD en tout genre, et il demanda à tire-l'arigot.

- Enzo - On commence avec quoi?

Alistair, Alexandra, John et Asuka arriverent tous en quelques minutes.

Alistair insinuait que l'on attendait plus qu'elle, mais Claire se dit que c'etait precisement d'elle qu'on aurait pu se passer. Mais cela, elle le garda pour elle et afficha son habituel sourire. Elle n'avait rien contre elle bien sur, c'est seulement que...ce n'etait pas le genre de filles qui lui correspondaient le plus.

Au tour d'Asuka. Celle-ci dit qu'elle n'avait rien, sauf des chaussures de petite pointure. Claire baissa les yeux, interessee: elle aussi etait une naine.

Et ce fut Mister Corso beau gosse qui arriva ensuite. Claire tressaillit, comme a chaque fois qu'elle le voyait. Il lui fit la bise avec ce sourire qui voulait clairement dire " j'ai fait une connerie plus grosse que moi, et j'en suis fier ".

Alexandra arriva en faisant son entree en sautant sur le dos d'Enzo. Ils etaient proches ces deux la. Claire se contenta de lui sourire et de lui faire la bise. Elle aimait bien Alexandra. Meme si celle-ci s'etait toujours montree un peu familiere avec John...Elle etait sympa quand meme.

Enfin. Enzo sembla voir que John cachait quelque chose et sa biere se retrouva vite fait bien fait sur la tete du bel Irlandais. Claire eclata de rire. Tiens, dans ta gueule Corso. Elle sourit a Enzo. Elle ne savait pas pourquoi mais, cette annee, elle voulait vraiment se rapprocher de lui. Cesser cette stupide timidite dans laquelle ils etaient tout deux enfermes depuis trop longtemps. Celui-ci demanda qu'est-ce qu'ils voulaient ecouter. Bon alors la, c'etait un moment critique: la musique ne serait pas du rock, car pour danser, ce n'etait pas le top...Claire n'avait rien contre certaines musiques de techno, et tout ce qui s'en approchait (elle etait d'ailleurs fan du groupe "Daft Punk").

-Fais voir ce que tu as...

Dit-elle en s'approchant. Elle s'assit a cote de lui et regarda les CD's qu'il lui passait. D'ici, elle sentait son parfum...Un sourire aux levres, elle fixait son regard sur les titres des chansons, mettant de cote les compilations ou se trouvaient des titres de Daft Punk. Elle ne voulait pas imposer son choix aux autres quand meme. Elle faisait donc mine de regarder les autres CD's, simplement histoire de rester assise la, pres de lui, dans son parfum. Claire, tu craques la.

[ bon tant pis...me tape 2 posts d'affilée...]

Ce fut Alex qui arriva apres lui. John sourit a l'arrivee fracassante de la jeune fille sur le dos d'Enzo. Elle s'adressa alors soudainement a lui, John, avec qui elle entretenait une relation...speciale. Laughing

Elle parla de ses conneries avec Enzo et surtout envers Enzo. Prenant un air parfaitement innocent (qui ne trompait cependant personne), il sourit en haussant les sourcils.

-Moi ? Qu'est-ce que j'ai fais encore ?

Son sourire le trahissait bien sur, mais ca, il s'en fichait et en riait. Quand a la question d'Enzo concernant ses neurones (ou plutot son neurone d'apres l'italien), John se contenta de lui adresser un grand sourire en levant le majeur de sa main gauche.
Enzo s'approcha de lui et lui vida le reste de sa bouteille sur la tete, en lui faisant un bisou sur la joue. John le poussa en riant et en s'essuyant la joue.

-Tires toi...espece d'italien...

Et oui. Pour lui, tout les italiens etaient plus ou moins homosexuels. Bien sur, il savait qu'Enzo ne l'etait pas...mais quand il avait l'occasion de le traiter d'italien, il le faisait car il savait que cela l'agacait. Meme si au fond, il ne voulait pas l'atteindre...ni meme l'insulter...Enzo etait si orgueilleux...il ne supporterait pas. De plus, il ne voulait pas se facher avec lui.

John se lécha donc les levres, goutant la bonne biere. Etant Irlandais, le jeune homme en connaissait un rayon sur les bieres...celles-ci ne valaient pas celles de son pays bien sur, mais elles etaient tout de meme bonnes. Puis il s'essuya le visage d'un revers de la main. Quand a ses cheveux, il secoua la tete un bon coup, envoyant quelques gouttes de biere sur Alex au passage. Les cheveux encore plus en bataille, il lui adressa un sourire angelique (mais peu credible), histoire de ne pas se faire trop engueuler...

Enzo demanda quelle musique ils voulaient mettre. John ne repondit pas, regardant Claire aller s'asseoir aux cotes d'Enzo pour choisir une musique. Des étudiants commencaient a arriver, certains par groupes de 10 ou 11...John en connaissait la plupart. Surtout les groupes de filles...

-Mets ce que tu veux...

Dit John, a l'adresse de son ami, connaissant les bons gouts musicaux d'Enzo. Forcement: ils avaient les memes. John se tourna alors vers Alexandra.

-A moins que la chieuse veuille absolument ecouter du Britney Spears ?

Que c'est beau la provocation.

Enzo lui répondit quand elle descendit de son dos qu’il avait passé de merveilleuses vacances, qu’il les avait beaucoup aimé. Il lui avait dit ça d’un ton si calme après qu’elle lui ai dit que son pare-brise était très glamour. C’était presque bizarre. Mais elle lui annonça :

Alex – « Mouais, moi aussi. Je n’ai pas beaucoup dormi mais c’était sympa. »

Ensuite elle se dirigea vers Corso. Il lui souria de suite, demandant ce qu’il avait fait « encore ». Alexandra souria à elle-même, comme si c’était un ange ce mec. Qui pouvait bien croire ça hein ? Même un gosse de trois ans se serai méfié de Corso. En plus, il souria limite béatement, c’était marrant de le voir essayer de passer pour un ange… Enfin bref. Quand Enzo lui demanda comment allait le neurone de Corso, celui-ci lui fit un geste, comment dire, pas très poli, un signe comme Corso savait si bien les faire. La jeune femme souria. Elle savait très bien qu’Enzo n’allait pas en rester là, lui ce garçon orgueilleux. Et manque de peau pour Corso, elle ne s’était pas trompée. Enzo vida sa bière sur la tête de Corso avec un bisou en prime. Wow. Sa commençait bien avec ces deux-là.

Corso s’essuya d’un revers de main et secoua sa tête, il le faisait apparemment exprès. Il venait de l’éclabousser de gouttelettes de bière. Il lui fit ensuite un sourire comme pour ne pas se faire engueuler par celle-ci. Tssss. Il n’avait vraiment pas changé. Et encore heureux en même temps, elle n’aurait pas suivi sinon. Alexandra lui souria à son tour, comme pour lui dire « aller c’est bon, je vais pas t’engueuler cette fois. ».

Leur ami Enzo demanda ce qu’ils voulaient écouter. Heu… Claire alla vers lui pour regarder ce qu’il avant tandis que Corso lui annonça qu’il pouvait mettre ce qu’il voulait, sauf si la « chieuse » tenait absolument à écouter une chanteuse que, bien évidemment, elle n’écoutait pas. Un énorme sourire se dessina sur ses lèvres. Mince, il fallait qu’elle lui sorte une grosse connerie elle aussi, histoire de le provoquer. Alors elle annonça avec son sourire sarcastique habituel :

Alex – « Ben moi tu sais, je peux écouter ce que vous voulez, tant que je peux danser avec toi Cow-Boy. »

Cow-Boy ? C’était quoi ce surnom ? D’habitude elle l’appelait poussin ou Corso mais jamais comme elle venait de le faire. Bref, elle cherchait, comme toujours, à l’embêter, à le provoquer.

Elle se glissa ensuite vers Claire et annonça :

Alex – « Si jamais tu vois des CD’s de la chanteuse dont Corso a parler, tu les vires hein… Je sais qu’il est fan, mais bon. On n’est pas là pour écouter ce genre de chose. Sinon, tes vacances à toi ma grande, elles se sont bien passées ? »

La jeune femme souria à Claire. Même si elles n’avaient jamais été « les meilleurs amies du monde », Alexandra aimait bien cette camarade de classe. Puis elle remarqua la façon dont celle-ci regardait Enzo. La jeune femme se pencha un peu plus sur sa voisine et lui annonça doucement :

Alex – « S’il t’intéresse, va donc le voir. Je suis sûre que lui aussi est intéressé. »

Rah lala. Toujours à s’occuper des autres cette Alex… Et puis, ne seraient-ils pas mignons tous les deux ? Enfin bref. La jeune femme se releva et alla prendre une bière qui était installée avec d’autres près d’un tas d’affaire. Dont un ravissant petit gilet. Celui-ci devait appartenir à Claire puisque des chaussures étaient à côté et que Claire était la seule à ne plus en porter. Enfin… L’une des seules. Alexandra retira à son tour des tongues. Rahhh, ce qu’elle adorait le contact avec le sable chaud et doux de cette plage. Elle porta ensuite la bière à sa bouche et en but quelques gorgées.

[ Je reponds ? Mieux vaut attendre Ali ou Asuka...et Ben, si il arrive a venir...si dans deux jours y'a rien, je repondrais avec John ou Claire peu importe Wink

Et si tu veux, vu qu'on est les seules "actives" on peut se faire un petit PV en attendant ? Je le crées au terrain de basket Wink

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